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Fédération Espagne

posté le 22-11-2011 à 15:13:50

Ce que pense l’Organisation gabonaise des consommateurs sur le commerce équitable

León, 22 novembre (FEDEPDGESPAGNE) - Invité à la célébration d’ouverture de la Journée mondiale du commerce équitable, le bureau dirigeant de l’Organisation gabonaise des consommateurs (OGC) s'est prononcé sur son rôle à jouer au côté du gouvernement par rapport à  la mise en place du commerce équitable au plan national. S’exprimant le premier, le Président de l’OGC, Ibrahim Tsiendjet Mboulou, a signalé que « Nous sommes venus comme participants et saluons l’initiative et le fait que l’information s’intensifie désormais. Nous souhaitons par la même occasion que les consommateurs s’imprègnent du commerce équitable ».

 

Conscient que le commerce équitable gabonais est encore à l’état embryonnaire, le Président de l’OGC a souhaité une véritable organisation afin que les principaux acteurs puissent en tirer profit.

 

« Notre participation en tant que clients à l’achat de leurs produits ne devrait plus s’arrêter à l’échange commercial habituel. Mais nous devons participer en tant qu’actionnaires pour permettre aux producteurs du commerce équitable de progresser et développer leurs activités, d’où notre regard de conseiller sur leurs réalisations et productions ».

 

« Aussi, souligne-t-il, le fait que notre pays tend à devenir émergent signifie que nous devons tous avancer et appréhender ensemble les différentes mutations opérées à travers le monde ».


Pour Madame Emilie Vanguinyo, formée sur le commerce équitable en 2008, par ailleurs chargée des relations publiques de l’OGC : « le commerce équitable est une utopie dans le sens où les gens ne réalisent pas encore sa portée et n’œuvrent pas dans les normes ».

 

« On constate que les gens ne s’adonnent pas à ce nouveau concept de commerce », a-t-elle fait remarquer en souhaitant que les autorités, en charge de promouvoir l’économie sociale, accentuent les campagnes de sensibilisation auprès des petits producteurs méritant plus de suivi et d’attention à tous égards.

 

 

 

 

ÉCRIT PAR MICHEL J.ABESSOLO             MARDI, 22 NOVEMBRE 2011 15:13  

 


 
 
posté le 22-11-2011 à 15:12:23

Economie / Ce que pense l’Organisation gabonaise des consommateurs sur le commerce équitable

León, 22 novembre 2011 - Invité à la célébration d’ouverture de la Journée mondiale du commerce équitable, le bureau dirigeant de l’Organisation gabonaise des consommateurs (OGC) s'est prononcé sur son rôle à jouer au côté du gouvernement par rapport à  la mise en place du commerce équitable au plan national. S’exprimant le premier, le Président de l’OGC, Ibrahim Tsiendjet Mboulou, a signalé que « Nous sommes venus comme participants et saluons l’initiative et le fait que l’information s’intensifie désormais. Nous souhaitons par la même occasion que les consommateurs s’imprègnent du commerce équitable ».

Conscient que le commerce équitable gabonais est encore à l’état embryonnaire, le Président de l’OGC a souhaité une véritable organisation afin que les principaux acteurs puissent en tirer profit.

 

« Notre participation en tant que clients à l’achat de leurs produits ne devrait plus s’arrêter à l’échange commercial habituel. Mais nous devons participer en tant qu’actionnaires pour permettre aux producteurs du commerce équitable de progresser et développer leurs activités, d’où notre regard de conseiller sur leurs réalisations et productions ».

 

« Aussi, souligne-t-il, le fait que notre pays tend à devenir émergent signifie que nous devons tous avancer et appréhender ensemble les différentes mutations opérées à travers le monde ».


 

Pour Madame Emilie Vanguinyo, formée sur le commerce équitable en 2008, par ailleurs chargée des relations publiques de l’OGC : « le commerce équitable est une utopie dans le sens où les gens ne réalisent pas encore sa portée et n’œuvrent pas dans les normes ».

 

« On constate que les gens ne s’adonnent pas à ce nouveau concept de commerce », a-t-elle fait remarquer en souhaitant que les autorités, en charge de promouvoir l’économie sociale, accentuent les campagnes de sensibilisation auprès des petits producteurs méritant plus de suivi et d’attention à tous égards.

 


 
 
posté le 22-11-2011 à 00:07:44

La crise politique se poursuit en Belgique avec la démission d’Elio Di Rupo

 

Dimanche 20 novembre, Elio Di Rupo a attendu en vain un accord sur les mesures économiques avec les leaders des autres partis de la coalition.

 

REUTERS/Francois Lenoir

Par RFI

Nouvel épisode dans l'interminable crise gouvernementale en Belgique : le socialiste francophone Elio Di Rupo, chargé de former le gouvernement, a présenté sa démission au roi Albert II. Après avoir réussi à calmer les différends linguistiques, le Premier ministre démissionnaire n’a pas pu trouver d’accord avec la coalition pour réduire le déficit budgétaire.

 

La désillusion est grande en Belgique, d'autant plus que le socialiste francophone Elio Di Rupo avait réussi à obtenir plusieurs accords au sein de la coalition de six partis censés soutenir son futur gouvernement. Les différends linguistiques notamment, qui opposent les Flamands et les francophones au point de faire craindre l'éclatement du pays, avaient pu être réglés par un projet de réforme institutionnelle. Mais les mesures à prendre contre la crise économique ont fait voler en éclats le consensus.

 

Les partis libéraux de la coalition, à la fois flamands et francophones, ont rejeté les propositions des socialistes et des centristes, leur reprochant le fait qu'elles comprennent trop de hausses d'impôts et pas assez de coupes budgétaires, ni de réformes de fond, citant pour exemple la réforme du système des retraites ou celle des allocations chômage.

 

L'objectif, impossible à trouver finalement, était de ramener le déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB en 2012, en conformité donc avec le Traité de Maastricht. Les prévisions initiales fixaient ce déficit à 4,6% du PIB. Dans l'attente de la sortie de cette crise, la plus longue de l'histoire du pays, la Belgique reste administrée par un cabinet chargé d'expédier les seules affaires courantes. Ce dernier doit faire face à un marasme économique qui s'aggrave et à la montée des revendications sociales, les syndicats ayant appelé à manifester le 2 décembre contre l'austérité
 


 
 
posté le 22-11-2011 à 00:03:42

RDC - WikiLeaks : faible, susceptible et mystérieux... Kabila vu par Washington

 

 

 

La diplomatie américaine, telle que dévoilée par WikiLeaks, décrit le président de la RDC comme un dirigeant peu sûr de lui, ayant des difficultés à s’affirmer. Mais elle reconnaît aussi à Joseph Kabila une certaine capacité d’écoute et quelques bonnes décisions. Petit florilège des câbles américains, à quelques jours des élections présidentielle et législatives du 28 novembre.

« Kabila reste une énigme ». Ce commentaire de William Garvelink, deux ans et demi-après son arrivée en tant qu’ambassadeur des États-Unis à Kinshasa (c’était en octobre 2007), illustre bien l’épaisseur du mystère que représente le président congolais pour les Américains, selon les documents révélés par WikiLeaks.

« Son pire cauchemar » ne serait autre qu’une alliance entre « ses deux plus puissants voisins, l’Angola et le Rwanda » contre lui, juge par exemple le diplomate américain en décembre 2009, qui ne voit pourtant « aucun signe convaincant » de cette possibilité.

Même en politique intérieure, Joseph kabila semble méfiant vis-à-vis des Forces armées de RDC. « Son but est la survie », juge ainsi Alan Doss, alors chef de la mission des Nations-Unies dans le pays, cité dans un câble de 2009. « C’est pourquoi il n’a jamais critiqué publiquement les FARDC, contrairement à d’autres institutions gouvernementales », analyse l’ambassadeur.

Grande souffrance psychologique

À travers les nombreux câbles consacrés à la RDC, Kabila apparaît également peu au fait de certains dossiers majeurs. Ainsi, quand en mai 2009, le président du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, vient le convaincre de renégocier les contrats chinois, il paraît cueilli à froid. « Kabila était très certainement mal informé sur cette question avant la visite de Strauss-Kahn », commente Garvelink. Le mois suivant, le gouvernement congolais prend contact avec Pékin pour commencer la renégociation, constate Washington avec une satisfaction mêlée de surprise. « Il n’est pas sûr que Kabila aurait compris entièrement ce qui était requis, ou aurait eu la volonté de prendre la décision politique, sans la visite de Strauss-Kahn ».

La grande susceptibilité du président congolais étonne aussi les Américains. Se confiant à l’ambassadeur de Belgique, Dominique Struye, en janvier 2010 (lequel rapporte ensuite la conversation à ses homologues américains, français et britannique), il apparait « clairement vexé » par les reproches des occidentaux. Ces derniers « se focalisent sur des problèmes spécifiques et parlent ensuite de la RDC uniquement sous cet angle, ainsi que de l’incapacité de Kabila à les régler » […] « D’après Struye, Kabila a une grande souffrance psychologique parce qu’on le juge selon des critères bien plus élevés que beaucoup d’autres dirigeants. Struye est allé jusqu’à estimer que Kabila évite les réunions internationales parce que les chefs étrangers s’en servent pour lui rappeler ses nombreux échecs et que la presse étrangère aime le critiquer ».

"Il agit peu et parle encore moins"

Mais, commente l’ambassadeur américain, « Kabila est un homme qui agit peu et parle encore moins et il ne s’est pas fermé aux avis, dont ceux des Américains et des Européens, sur les changements nécessaires dans l’armée, même si ce genre de conseils ne sont généralement pas écoutés ».

Du coup, la « communauté internationale » tente de « couver » collectivement le président congolais. « Quel que soit la personne qui appelle Kabila, nous nous sommes mis d’accord sur la nécessité de coordonner notre message », rapporte un diplomate américain le 30 décembre 2009, après une rencontre au sommet avec les représentants des Nations-Unies, de l’Union européenne et des États-Unis à Bruxelles. « Encourager Kabila à exercer plus d’autorité et à rentrer à en contact avec les partenaires sur de nombreux sujets importants » est « l’un des défis de l’année » juge même l’ambassadeur américain début février 2010.

Plus significatif de la frustration des Américains face à lui, à l’heure du bilan de l’année 2009, Garvelink envisage même de le contourner. « Étant donné les échecs de Kabila, nous devons apprendre à nous servir d’avantage des autres sujets sensibles au sein du gouvernement de RDC, pour faire avancer nos objectifs communs ».

Indulgence américaine

Mais au fil du temps, le jugement des Américains sur Kabila se fait de plus en plus indulgent. Ainsi, lorsqu’il décide de rejeter le budget voté par le Parlement, le 31 décembre 2009, l’ambassadeur a peine à croire que c’est bien le souci des finances publiques qui a motivé ce geste. « Le sens du refus du président Kabila de signer le projet de budget 2010 n’est pas clair », écrit Garvelink le 8 janvier 2010. Trois semaines plus tard, il rapporte que des « contacts » au ministère des Finances et du Budget lui ont assuré que Kabila « cherchait réellement à s’assurer d’un budget réaliste qui ne menacerait pas les progrès du gouvernement de RDC vers le point d’achèvement de l’Initiative des pays pauvres très endettés » [PPTE, processus qui permettra finalement à la RDC de se débarrasser d’une partie de sa dette, NDLR]. L’ambassade est « d’accord avec cette analyse », peut-on lire dans ce télégramme.

Pour Washington, le bilan des années Kabila n’est donc pas totalement négatif. « L’année 2009 s’est achevée avec de prudents signes d’optimisme. […] Les relations avec les voisins de l’Est se sont beaucoup améliorées, […] les attaques sur les journalistes ont baissé, une presse libre continue de prévaloir, et une opposition qui se fait entendre existe, même si celle-ci s’autodétruit ». En définitive, note la diplomate américain, le manque de leadership de Kabila « ne veut pas dire que le pays ne bouge pas par lui-même ».

 


 
 
posté le 21-11-2011 à 23:59:34

Financement américain de 14 millions de FCFA à deux ONG environnementales gabonaises

LIBREVILLE // Le Programme Régional de l'Afrique Centrale pour l'Environnement (CARPE) de l'Agence américaine pour le développement international (USAID) a débloqué 14 946 000 FCFA en faveur de deux Organisations non gouvernementales (ONG) environnementales gabonaises, aux termes d’une convention signée mardi dernier à Libreville.

 

"La jeunesse en action-environnement et développement" a été subventionnée à hauteur de 696. 0000 FCFA pour mener à bien son projet de promouvoir la gestion durable des forêts en zone rurale, à travers la vulgarisation et l’adoption des techniques d’exploitation ayant un impact environnemental, dans les villages situés entre Oyem et Mitzic.

 

Pour sa part, l’organisation économique du lac Oguemoué a reçu un financement de 14 250 000 FCFA pour implanter un site écotouristique dans le village de Tsam- Tsam, situé dans la province de l’Ogooué- Maritime, dans le centre du Gabon.

 

L’ONG doit également bâtir un modèle d’écotourisme et initier une économie alternative à la chasse illégale qui sévit autour du lac Oguemoué
 


 
 
 

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